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    Autour du prénom

      

    Ces remarques ne sont donc pas non plus un catalogue qui tendra à rendre les Aglaë vives et intelligentes, les Luc sportifs et inventifs... Certains symboles sont effectivement liés aux prénoms mais de là à forger entièrement le caractère de la personne en se limitant au prénom... C'est tout le contexte de ce choix qu'il faut envisager, le vécu des parents et de l'entourage, l'histoire et l'historique du prénom dans la famille en question. Cet ouvrage n'apporte que quelques éléments de réponse mais avant tout beaucoup plus de questions. On procède de la même manière lors de l'interprétation freudienne des rêves. Le rêve est chargé de symboles, mais rêver que l'on perd ses dents ne veut pas dire que dans la semaine qui suivra nous perdions un être cher. C'est la manière dont on raconte son rêve qui lui donne un sens, seul le rêveur est en mesure d'approcher la clé de ses songes, dans le «dire» et non dans le catalogue des rêves. Vouloir tout répertorier, généraliser représente un danger, dans les rêves, les prénoms, la numérologie etc. etc. On en oublie un peu trop souvent le caractère unique de l'être humain, que chacun a son mode de fonctionnement propre. Si les hommes se ressemblent ils sont en tous points néanmoins différents, à commencer par leur carte génétique.

     

     

     


    De même celui qui recherchera dans ces lignes un prénom «sans risque» pour son enfant ne trouvera pas de mode d'emploi. La normalité selon Freud c'est d'être tous des névrosés. Le fruit de ma chair, de mon sang, la chair de ma chair, mon bout à moi, la partie de moi, tous ces noms dont la liste est longue explicite cette volonté non cachée de «produire» quelque chose de soi, de faire perdurer une partie de soi. Le règne animal se limite à assurer la continuation de l'espèce, l'être humain, animal plus complexe détient également cette composante.

     

     

     


    La France fait cas de son taux de natalité : 1,6 ou 1,7 enfant par couple, en dessous donc du seuil de 2 qui assure la perpétuation. Pourquoi donc la société française incite-t-elle donc les familles à procréer, pourquoi les avantages des caisses d'allocations familiales favorisent-elles les familles d'au moins trois enfants ? La réponse va de soi, la France «se meurent». On parle de désertification des campagnes, mais la taux de natalité est un des soucis majeurs des différents gouvernements français qui se succèdent. A commencer par le problème posés par la retraites. On nous surinforme sur le danger qui pèse sur les retraites de la nouvelle génération, celle qui commence à peine à travailler. Il n'y aura plus personne, ou plutôt plus assez de cotisants dans une vingtaine d'années. Et nombre de théories s'élaborent pour palier à ce manque d'enfant. Qui paiera pour les «vieux» ? Quelques campagnes à l'échelon national ont été lancées, incitant le «français» à faire des enfants. Ces campagnes ont été suivies d'appâts financiers pour qui «contribuerai» au repeuplement de la France. Le mot peut certes paraître un peu fort mais il s'agit bel et bien d'une crise de la natalité. L'Allemagne connaissait ce problème jusque dans les années 1988, avec un taux de 1,4, mais la réunification a permis de remonter ce pourcentage. L'ex Allemagne de l'Est ayant un taux supérieur à 2. Mais la situation de crise n'est que repoussée.

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