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    Tour du Monde

     

     

     


    Dans certains pays d'Asie, tous les enfants sont nommés à la naissance : «petite souris». Ce n'est qu'à l'âge de 6 mois qu'on lui donne son prénom définitif. Dans cet esprit là, il y a une volonté de ne pas nommer «ce qui n'existe pas encore». On laisse l'enfant affermir ses traits, son caractère, sa façon d'être. Même s'il est encore très jeune, il commence à être un individu à part entière et ce n'est qu'en fonction de ce qu'il montre de lui qu'on lui choisit son prénom. La part subjective en est considérablement réduite, le prénom ne reposant plus sur une idée de l'enfant que l'on va avoir, mais sur l'enfant lui-même. On laisse même le choix à l'enfant, en lui énumérant des prénoms, on regarde comment il réagit à l'énoncé de chaque, on attend un signe d'acceptation. Partant du principe qu'il comprend la démarche, ce qui n'est pas encore le cas dans notre société, c'est lui qui a le libre arbitre, tout signe, infime soit-il est alors réinterprêté par l'entourage.

     

     

     


    Dans certaines traditions arabes, le choix du prénom intervient au 7ème jour après la naissance, jamais avant. Ce qui pose nombres de problèmes pour les musulmans de France d'ailleurs, l'état civil demandant dès la naissance de déclarer l'enfant.

     

     

     


    En Turquie, le jeune frère n'a pas le droit d'appeler son aîné par son prénom mais «abi» (grand frère), un privilège qui ne lui est pas accordé, une marque de respect. Aux Indes et en Afrique orientale une femme ne doit toujours pas prononcer le nom de son époux ni celui de son père sous peine de châtiment. Certes, à l'heure où l'émancipation de la femme devient cause mondiale, on ne peut qu'être choqué par de telles pratiques. On parle peut être de sociétés primitives mais derrière ses interdictions, on retrouve une tradition visant à protéger la tribu. Préserver l'héritage au travers de croyances multiples, même nos sociétés y ont encore recours. Celle-ci peut paraître désuète, mais elle garantit une existence propre à ceux qui l'emploient. Ces tribus, colonisés, à qui on a imposé nos modes de fonctionnement au nom du progrès, se raccrochent à des us et coutumes ancestraux où la magie a encore toute sa place dans l'évolution de l'individu.

     

     

     


    Dans certaines sociétés, lorsqu'un roi prenait le pouvoir, tous les sujets qui portaient le même prénom que celui-ci devaient en changer. On raconte même que le roi du Dahomey Bossa Ahadi fit simplement mettre à mort ceux qui se prénommaient Bossa comme lui. (Nom, Prénom. Ed Autrement. Sept 94).

     

     

     


    Ce ne sont que quelques exemples mais ils démontrent bien qu'il n'y a pas universalisation du phénomène donc pas de généralisation possible. Prénommer, nommer renvoit à son vécu propre, à celui de son histoire et de l'Histoire de chaque communautés. Nos sociétés fonctionnent ainsi parce qu'elles y sont obligées, on en revient à l'instauration du nom patronymique par le Concile de Trente géré par l'Eglise. On tend à adapter le mode de fonctionnement à la réalité de la société et non l'inverse. Est-ce préjudiciable ?

     

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