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    Le choix de la grossesse et du sexe

     

     

     

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    Le lecteur n'approuvera peut être pas ce qui suit mais qu'il essaye d'entendre ne serais-ce qu'un instant...

     

    Je veux en venir au fait que certaines «infertilités» sont dues non forcément à des causes hormonales mais à des causes psychologiques. Comme ce couple qui avait décidé d'avoir un enfant. Pendant plus d'un an, leurs efforts ont été vains. La femme a fini par faire des examens, aucune trace de stérilité. Au bout d'un moment le mari accepta à son tour de se soumettre à des tests (quoi de plus «castrateur» pour un homme que de pouvoir imaginer que c'est LUI qui ne peut pas). Les résultats ont été positifs, il y avait une insuffisance de concentration de spermatozoïdes par mm3. Pas assez de spermatozoïdes pour permettre la fécondation. Seule solution, recueillir plusieurs échantillons et procéder à une insémination. Sans succès. Ce n'est que «par hasard» au cours de discussions avec le couple que le mari avoua qu'il avait caché à sa femme qu'il ne se sentait pas réellement prêt pour assumer une telle démarche, qu'il n'en parlait qu'aujourd'hui parce qu'il ne voulait pas lui faire de la peine. Quelques temps après, elle tombait enceinte (du mari!) de la manière la plus naturelle qui soit alors que médicalement ce n'était pas possible.

     

     

     


     

     


    Autre exemple, moins explicite celui-ci. Cette femme qui inconsciemment se refusait à avoir un garçon. Résultats elle a eu trois filles mais trois garçons sont morts entre 4 et 6 mois de grossesse. Certaines fausses couches peuvent ainsi s'expliquer, le père apportant le chromosome «indésirable», malgré tout la nature joue son rôle mais c'est la mère qui provoque l'expulsion de l'oeuf fécondé.

     

     

     


    On peut retrouver également des parents qui n'auront jamais d'enfants de manière inexpliquée médicalement parce que le père ne peut «faire» que des garçons et la mère que des filles. Il y a bien un savant fou, lorsque les mentalités auront évoluées et que ce qui vient d'être énoncé soit accepté, pour trouver une solution génétique et médicale à cela.

     

     

     


    Profitons de ce chapitre pour ouvrir une parenthèse. L'enfant ne désire jamais à naître puisqu'il est le fruit et le choix de ses parents, en revanche à sa naissance, il a le désir à vivre. La différence est importante. Souvent lors des «crises» existentielles d'adolescence, l'enfant reproche à ses parents : «je n'ai pas demandé à naître», cette phrase ne peut en effet être contredite, en revanche ce que le jeune oublie c'est qu'il a désiré à vivre, que s'il a atteint ses 15 ou 16 ans, c'est de son plein gré, de son désir propre. Freud puis Dolto ont abordé le sujet des pulsions de vie et de mort. Lorsque l'enfant naît, se pose à lui la question du désir de vivre. La pulsion de vie généralement l'emporte mais certains morts-nés, ou décès prématurés d'enfants sans explication (la mort du nourrisson) peuvent trouver solution dans ce non désir de vivre. L'idée est peut être choquante, beaucoup de personnes n'attribue pas de possibilité de communication et de sensations émotionnelles de nouveau né. On se dit souvent qu'il est trop petit, qu'il ne peut pas encore se rendre-compte, qu'il ne comprend pas etc... Qu'est ce qui pourrait pousser celui-ci à peine sorti du ventre de sa mère de renoncer ainsi à la vie ? On pourrait ébaucher certaines hypothèses chez les personnes qui ont consulté après le décès de leur enfant. On retrouve des «accidents», viol ou relation d'un soir, ou des séparations et divorces pendant la grossesse voire certaines personnes qui n'en voulait plus et ont essayé à leur manière de provoquer des fausses couches. Et si l'enfant «survit», on retrouvera dans son comportement traces des traumatismes qu'il aura vécu alors qu'il n'était qu'embryon.

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