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    Individuation et prénom

     

     


    De l'enfance à l'âge adulte, le prénom va subir plusieurs crises. Jusqu'à la parole, il n'a fait qu'entendre son prénom et réagir à celui-ci. Qu'importe le mot, il suffit simplement de nommer, pré-nommer en l'occurrence. Vers 3 ans, l'enfant s'aperçoit que son prénom lui sert aussi à se différencier des autres, il va donner de plus en plus d'importance à ce qui le définit socialement. Dîtes à un enfant : «tu es une grenouille», il vous répondra «je suis pas une grenouille, je suis Paul». Il n'existe pas encore pour lui même mais par ce qui le nomme. Cet attachement est nécessaire. Dolto racontait qu'un enfant de trois ans rentrait pour la première fois à l'école, à l'appel de son prénom et de son nom il n'avait pas répondu. En rentrant le soir chez lui il dit à sa mère : «maman tu sais à l'école, il y a un petit garçon qui s'appelle comme moi, mais aujourd'hui il n'était pas là». Quel oubli sa mère avait elle fait dans le discours à son fils ? Bien qu'il connaisse ses noms et prénoms, il ne les rapportait pas encore à sa propre personne.

     

     

     


    L'exemple qui suit pourrait trouver également sa place dans le chapitres suivants. Une mère ne s'adressait à son enfant qu'en l'appelant «mon bébé». Dès que sa famille fut en âge d'être scolarisée, on lui demanda son nom : «je m'appelle mon bébé H.». La maîtresse a tenté en vain de lui expliquer que ce n'était pas son nom, que son prénom ce n'était pas «mon bébé» mais Marine, rien n'y faisait. Elle a donc convoqué la mère pour lui expliquer la situation. Quelques jours plus tard, à l'école, lorsqu'on lui demandait son nom, elle répondait : «mon bébé Marine H.». Le «mon bébé» était tellement inscrit comme dénomination pour l'enfant qu'elle considérait son prénom uniquement en annexe. La situation fut néanmoins résolut jusqu'au jour où la mère rencontra un homme (elle vivait seule avec sa fille). Elle appelait son compagnon également par des «mon bébé». La petite Marine fit alors des crise en expliquant à sa mère que mon bébé c'était elle et non pas l'homme avec qui elle partageait sa vie. Il n'y avait qu'une «mon bébé» et c'était elle. (voir aussi le chapitre des «petits-noms»).

     

     

     


    Dans les premières années de scolarisation, son prénom va prendre un sens. Son rapport avec les autres va être déterminant. Pour un peu que le prénom porte à la plaisanterie, rien ne lui sera épargné. L'enfant va avoir besoin de «dénigrer» le prénom de l'autre pour lutter contre ses propres angoisses liées à sa prise d'identité. Il apprendra ainsi à aimer ou détester son prénom, ce qui revient au type de relation affective que l'on entretient et entretiendra plus tard avec soi-même. Dans certains cas, lorsque ce passage rencontre des heurts, l'enfant peut en arriver à reprocher à ses parents le choix de son prénom. Comme si dans ce refus on ne se reconnaissait pas dans son prénom. Erreur de sens, erreur de nom sur la personne, comme si le prénom se comportait comme un qualificatif de l'individu. Le mauvais prénom sur la bonne personne et non l'inverse. A tous les âges, ce phénomène se rencontre, où le prénom usité n'est pas celui de l'état civil. On rencontre aussi bien des Caroline à la place de Ginette, que des Rachelle à la place de Catherine. D'ailleurs, il semble que cette modification se rencontre plus chez les femmes que chez les hommes. Doit-on y voir une révolte de la fille envers sa mère, une façon de couper un cordon ombilical plus étouffant qu'autre chose ? Ne pas se reconnaître dans le prénom choisi par les parents équivaut à rompre avec eux, à renier la filiation existante.

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