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    Autour du prénom

     

    Cela me fait penser aux différents débats et polémiques qui existent sur les pays en voie de développement. Il n'est pas rare d'entendre dans nos salons des réflexions sur le nombre d'enfants dans les pays d'Afrique du Nord ou Centrale. «Ils ont le Sida, des maladies, ils meurent tous de faim et ils refusent la contraception que nous pays civilisés leur apportons», agrémentés bien évidement de qualificatifs quelque peu grossiers pour souligner leur bêtise. Il est vrai qu'en Ethiopie, au Soudan, etc. une femme met au monde au minimum sept enfants, sur ces sept seuls deux ou trois survivront. Tiens on retrouve le chiffre deux, celui nécessaire à la continuité de l'espèce. L'être humain est dit doué d'intelligence, il n'en reste pas moins une espèce parmi d'autres dans le monde animal. Inconsciemment ces pays font face aux difficultés quotidiennes qu'ils doivent endurer. Ils n'ont pas ou peu de nourriture, pas assez pour tout le monde, mais la méthode qu'ils utilisent, quoiqu'on puisse en penser, n'est pas si inhumaine que cela. Il est difficile pour nous pays «civilisés et développés» de comprendre cette attitude. Les traditions et les us nous sont étrangers mais ces pays là sont néanmoins peuplés d'humains en dépits des dires de certains.

     

     

     


    Et pourquoi en Chine, le raisonnement est-il inverse ? La famille doit se limiter à un enfant, de préférence un garçon et les parents encourent des sanctions financières s'ils mettent au monde un deuxième enfant ? En effet ce peuple qui compte plus d'un milliard d'habitants, doit lutter contre le phénomène de surpopulation qui nuit gravement à l'économie chinoise. Ce pays, n'étant pas encore familiarisé avec les moyens de contraceptions modernes a du mettre en place une série de mesure draconienne. Mais comme contraceptif, l'efficacité reste encore à prouver. Nombre de couple se retrouve avec un deuxième enfant «à l'insu de leur plein gré» et les abandons ne sont pas rares. Il s'est également développé un réseau parallèle d'avortement «maison», engendrant assez fréquemment la mort de la mère. Les méthodes restent les mêmes qu'en France mais plusieurs dizaine d'années en arrière, l'avortement par aiguille à tricoter, par chocs violents portés sur le ventre, arrêtons là, le but n'étant pas de faire un catalogue de la cruauté. Lorsque le premier enfant est une fille, les couples en sont réduits à utiliser des méthodes comme la noyade, l'étouffement... En revanche si le «bon» couple n'a fait qu'un enfant, un garçon, il touchera des primes de l'Etat pour lui permettre de suivre une scolarité dans l'exemple montré par la classe politique dirigeante.

    L'Inde d'ici une dizaine d'année aura une population supérieure à celle de la Chine mais ne se penche que maintenant sur son problème de surpopulation.

     

     

     


    La démographie d'un pays est un souci majeur dans chaque pays selon qu'il soit en manque ou en «trop» d'enfant. Ce n'est qu'un aspect de la reproduction humaine, inscrit quelque part dans nos gènes, ce besoin de procréer, d'assurer sa descendance au même titre que celui que l'on rencontre dans le règne animal. Certaines larves de papillon passent des années sous terre avant de voir le jour, se reproduisent en une seule journée et à la nuit tombée meurent.

     

    L'enfant c'est ce qu'il restera de soi lorsque nous ne serons plus. Alors tout commence par le prénom.

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