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    Loi du 8 Janvier 1993

     

    Qui n'a pas dans sa famille un récit relatif à l'officier d'Etat Civil qui prétextant que «cela ne se fait pas» refuse le prénom donné par les parents à leur nouveau-né. Il y a quelques années encore dans certaines mairies, le prénom Marine était interdit, en rapport avec la mer et non avec un prénom, alors que dans d'autres, il ne posait aucun problème. La loi prévoyait que seuls les prénoms figurant dans les calendriers ou à l'usage du prénom en France et à l'étranger pouvaient servir de support de choix. Depuis 1993, une nouvelle loi a abrogé certains textes. Complètement refondue même dans certains domaines : «l'officier d'état civil porte immédiatement sur l'acte de naissance les prénoms choisis par les parents» et ce quels qu'ils soient, restriction faite de ceux qui «paraissent contraires à l'intérêt de l'enfant». Dans ce cas c'est à l'officier d'état civil d'aviser le Procureur de la République qui peut saisir le tribunal afin de le supprimer. Sont visés : «les prénoms ayant une apparence ou une consonance ridicule, péjorative ou grossière, ceux difficiles à porter en raison de leur complexité ou de leur référence à un personnage déconsidéré dans l'histoire» Hitler ne passerait donc pas, De Gaule oui. Goldorak, non, Candy oui.

     

     

     


    C'est encore à l'appréciation du Juge dans certains cas extrême donc, mais des prénoms qui paraissaient hors d'atteinte, peuvent être interdits par celui-ci alors que pour le reste de la population il est communément admis. L'actualité devance la parution de ce livre. Début 1999, un couple de Besançon met au monde un petit garçon. Passionné d'escalade et plus précisément du grimpeur Bertrand Roche, surnommé Zébulon, les parents décident de le prénommer ainsi. Mais c'est sans compter les souvenirs d'enfance du substitut de la République qui se souvient du «manège enchanté», émission télévisée des années 60 où le personnage principal s'appelait Zébulon. Il craint pour l'enfant les moqueries de ses futurs petits camarades. Il se réfère alors aux textes de loi et n'autorise pas l'appellation Zébulon pour ce petit garçon. Mais quel enfant aujourd'hui connaît Zébulon ? Plus aucun, passons ! Les parents ont fait appel, sans succès, et en attendant le petit Zébulon porte son deuxième prénom pour l'Etat civil. D'ailleurs Zébulon est l'un des fils de Jacob dans l'ancien testament, mais cette histoire ne fait pas partie de souvenirs d'enfance alors...

     

     

     


    En parallèle de cette anecdote, le choix est libre. Depuis l'apparition de cette nouvelle loi, les parents ont su faire preuve d'imagination très créatrice et très destructrice, réussissant à utiliser la loi pour néanmoins «ridiculiser» leur descendance. Cela a donné également la possibilité aux parents de créer eux-mêmes le prénom de l'enfant. Bien évidemment, lorsque la loi n'a plus besoin d'être contournée, elle est utilisée souvent dans ses limites extrêmes, une forme de réinterprétation libre qui devient nécessaire et passage quasi-obligé dans les méandres de l'imaginaire jusqu'à présent refoulé par des textes. Sans plus de commentaires pour l'instant.

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